Une petite interruption d’une semaine dans le blog car ma cops arrive demain en vacances…
Une petite interruption d’une semaine dans le blog car ma cops arrive demain en vacances…
Enfin, un peu de sérieux dans le blog !
Aujourd‘hui nous partons à Pearl Harbor. Le nom de Pearl Harbor est bien lié aux perles présentes dans cette magnifique baie alors qu’Hawaii n’était qu’un royaume.
Pauline s’intéresse à cette partie de l’histoire américaine. Elle a voulu revoir le film Pearl Harbor quelques semaines avant notre départ. Nous décidons donc de visiter la totalité du site.
Pour éviter la foule, il faut déjà commencer par être matinal ! C’est donc à 7h30 pétante que nous arrivons aux 2 guichets. Pour ceux qui viendront voir le site voici une petite information. Au guichet de gauche, on délivre un ticket gratuit avec une heure de visite pour l’USS Arizona Mémorial. C’est par lui qu’il faut commencer. Sur notre ticket il est noté 11h00 ! alors que nous sommes arrivées à l’ouverture. Je suppose qu’un grand nombre de ticket est réservé pour les groupes et tours.
Nous nous dirigeons ensuite vers le guichet de droite où nous achetons un ticket valable pour tous les autres sites.
Nous avons du temps avant la visite du mémorial. On nous conseille de commencer par l’USS Missouri Battleship. Nous prenons un bus pour aller sur le site.
C’est sur ce bâtiment (bateau) que le général Mac Arthur reçut la reddition de l’armée japonaise le 2 septembre 1945. La visite est intéressante même si elle n’est pas guidée pour nous : rien n’est traduit en français… Pauline a beaucoup aimé et a même testé les couchettes !
Nous revenons à temps pour visiter le mémorial. Nous commençons par la visite d’un magnifique musée puis on nous visionne un film retraçant l’attaque de Pearl Harbor. Le film est poignant avec toutes ses images d’archives. Il est en anglais mais est aussi sous-titré en anglais ce qui facilite la compréhension. Nous prenons ensuite un bateau pour aller au mémorial. Celui-ci a été construit au-dessus de l’épave de l’USS Arizona. Plus de 1000 hommes y ont péri, la plupart brulés suite à l’explosion du navire. Depuis des taches d'huile et de fuel remontent de l'épave vers la surface (entouré sur la photo).
Puis nous visitons un sous marin l’USS Bowfin. Le manque d’espace est impressionnant. Il ne faut pas être claustrophobe !
Nous terminons notre visite par le musée de l’aviation. Beaucoup de bénévoles y travaillent à longueur d’années. J’ai déjà vu une grande partie de ces avions pourtant je suis toujours impressionnée par les fameux « Tomcat (F-14) » du film Top gun et par les « Corsaires » du feuilleton Les têtes brûlées. Ma première rencontre avec le fameux hélicoptère « Cobra »est intéressante.
Nous rentrons bien fatiguées mais ravies de cette journée bien chargée.
Nous voici arrivées à Honolulu.
Le premier mot que l’on apprend ici c’est « ALOHA ». Aloha, signifie en langue hawaiienne affection, amour, compassion, pitié, au revoir, bonjour, ainsi que d’autres sentiments et nuances apparentés. Il est particulièrement en usage à Hawaii comme salutation signifiant aussi bien bonjour qu’au revoir.
Après un vol plutôt agité à cause des turbulences, nous arrivons sur l’île d’Oahu un peu fatiguées mais ravies de découvrir cette nouvelle destination.
Il est 6h30 du matin et je prends possession de ma voiture automatique, une Dodge caliber, chez Dollar. Pour une entrée de gamme nous sommes plutôt surprises : c’est déjà imposant !
Mes collègues m’avaient donné quelques conseils avant le départ. Heureusement car la fille à l’accueil me tend les clefs et ensuite c’est débrouille toi… Je dois rester concentré, je ne pense qu’à mon pied gauche qui ne doit surtout pas toucher les pédales. Heureusement, c’est dimanche et il est tôt : je peux ainsi partir tranquillement. En final, j’apprécie énormément la conduite de la voiture auto…
Sur les conseils de ma copine Véro, nous nous dirigeons directement à l’Aloha Stadium.
Chaque dimanche, on y trouve un gigantesque marché tout autour du stade. On arrive trop tôt, les stands ne sont pas encore installés : ils sont moins matinaux qu’à Papeete ici ! Faire le tour va nous prendre quelques heures et pourtant on ne fait pas la rangée interne consacrée aux puces. On va y dépenser nos premiers dollars…
La fatigue se fait sentir, nous reprenons la voiture en direction de l’hôtel. A 15h00 nous prenons possessions de notre chambre. Celle-ci est vraiment confortable et bien équipée. Une petite sieste s’impose avant d’aller faire un tour sur la célèbre plage de Waikiki.
La plage est à proximité de l’hôtel. Un spectacle de danse Hawaiienne est donné chaque dimanche soir près de la statue du Duke. Duke Paoa Kahinu Mokoe Hulikohola Kahanamoku dit Duke Kahanamoku, né le 24 août 1890 à Honolulu (Hawaii), était un nageur et un surfeuraméricain. Médaillé olympique en natation, il est également considéré comme l'une des personnalités les plus importantes du monde du surf en faisant découvrir sa pratique sur les côtes américaines, en Australie et dans le monde entier lors d'exhibitions. Chaque jour des colliers de leï (fleurs fraiches) sont déposés sur la statue.
Sur la plage, on admire les fameuses planches longboard. Ici même les chiens font du surf !
Le spectacle de danse nous déçoit. Cela n’a rien à voir avec la danse Polynésienne. Pour nous cela manque de rythme. Heureusement, le coucher de soleil sur Waikiki est superbe.
Pour terminer cette première journée, nous allons manger dans un restaurant mexicain très sympathique : la cucaracha (j’en connais quelques unes qui vont sourire : la cucaracha est une danse de country que je n’aime plus du tout). Nous prenons deux entrées qui sont gigantesques. Cela suffira amplement à remplir nos estomacs.
Sur le retour on admire les engins de location. Ici on peut conduire une moto sans casque, alors certains se lâchent !
Je peux vous dire que cette première nuit a été excellente.
Nous venons de rentrer d’Hawaii mais avant de vous en conter les aventures, voici quelques images des Cousins.
Agnès et Gilbert n’ont pas chômé cette semaine : ils ont visité l’île de Tahiti dans tous ses recoins.
Nous les avons retrouvé ravi et bien serein : Ils ont déjà adopté la fiu attitude … Ah quand la Polynésie vous gagne !
Depuis déjà presque 15 jours, ils s’émerveillent.
En vrac, ils aiment : le paysage, les spectacles de danse, la chaleur de l’eau (surtout Agnès !), le poisson, les fruits, la gentillesse des Polynésiens.
Gilbert fait son show !
Agnès s’initie au pilotage !
Ce matin, ils ont pris leur envol vers les îles sous le vent : Bora-Bora, Huahine, Raiatea, Tahaa.
J’ai reçu ce texto il y a quelques minutes : « bien arrivés au Paradis, pension super, bateau organisé. Bisous. »
Une semaine de vacances pour Pauline et moi dans une île mondialement connue, enfin presque, car si je vous dis que nous allons à Oahu cela ne vous « causera » pas !!!
Oahu est une des îles de l’archipel d’Hawaii. On connait beaucoup mieux sa capitale, Honolulu et sa célèbre plage, Waikiki.
De Tahiti nous avons 6 heures d’avion et aucun décalage horaire.
Nous décollons ce soir à minuit et demi avec la compagnie Hawaiian Airlines.
Nous partons une semaine avec au programme : surf (pour Pauline ), shopping et visites, entre autre Pearl Harbor.
Pendant ce temps là Agnès et Gilbert vont découvrir Tahiti avant de s’envoler vers d’autres îles de la Polynésie.
Passer de - 14°C à +32 °C, cela assomme …
Et bien mes cousins bourguignons l’ont fait !!!
Agnès et Gilbert sont là et visiblement bien heureux d’être arrivé sur le Fenua. Un mois de vacances à profiter des bienfaits de la Polynésie…
Un petit récapitulatif de leur voyage dans quelques temps car …Pauline et moi partons en vacances.
Ce week-end Pauline et moi avons pris la direction de la maison de la culture pour assister au FIFO (festival international du film documentaire océanien). Nous avons regardé certains films ensembles puis nous sommes séparées suivant nos choix et gouts.
Voici ma sélection avec un petit résumé de chaque film. Cette sélection est classée par ordre de préférence, le premier film étant mon favori.
Près d'une centaine de couples débarquent à Tahiti chaque année en quête d'une maman biologique qui accepterait de leur confier son enfant. Certains trouvent rapidement le bébé espéré, d'autres repartent effondrés. Mais est ce que ces couples comprennent vraiment ce que veut dire partager un enfant ? Marc et Nathalie, tous deux originaires de Bourgogne, ont déjà adopté Tomy et prennent la tradition polynésienne du faa'amu très au sérieux. Ils ont tenu parole et ramené leur fils à Tahiti chaque année. De retour en Polynésie, ils sont prêts à prendre le temps qu'il faudra pour trouver un second enfant…
Vieux de 40 ans, l’hôpital de Mama’o à Tahiti
en Polynésie française va être détruit pour laisser place à un nouvel hôpital ultra moderne. Tout Polynésien y est allé au moins une fois dans sa vie, pour y naître, s’y faire soigner, visiter un proche. Ou pour mourir... C’est toute une partie de l’histoire des Polynésiens qui va disparaître.
Où trouver dans la culture des Polynésiens les racines de leur stoïcisme devant la souffrance et la mort ?
Chronique en forme de mémoire des derniers jours et nuits de l’hôpital de Mama’o, portraits des femmes et des hommes « ordinaires » qui mènent une vie parallèle à celles des gens qu’ils soignent et sauvent, ou pas, dans ce lieu qui n’existera plus.
« G » En Polynésie , il suffit de prononcer « G » pour que l’on sache de qui l’on veut parler. G est un chasseur sous-marin au pays des chasseurs sous-marins… et des requins. Depuis quelques années « G » s’est spécialisé. Désormais il traque le Gros dans le Bleu. Il est devenu le spécialiste de la chasse aux pélagiques et a acquis une belle réputation à travers le monde. « G » veut atteindre un record : remonter avec une seule flèche le plus gros marlin bleu du Pacifique.
Ils ont leur propre langage, leurs vagues, leurs propres règles. Sourds aux sirènes du surf business, ces "chevaliers des temps modernes" défendent leur vague comme on s'approprie un territoire. Ils s'affrontent aux quatre coins du globe, par vagues interposées. En Tasmanie, à Hawaii, à Tahiti, en Californie ou au Pays Basque, chacun porte haut les couleurs de son clan.
Ce film est un documentaire sportif, mais pas seulement. Autour du rugby, le sport national, apparaissent de nombreux aspects de la culture néo-zélandaise, du pays, de son histoire, de ses héritages, comme celui du haka, une émanation de l'esprit guerrier maori. Il met en avant le rôle du système d'éducation, des valeurs et des traditions qui font la force et expliquent le succès des « All Blacks », ainsi que l'importance des communautés et de la famille.
Jandamaraa est un Aborigène qui devint célèbre en Australie par son combat pour la défense des terres, la reconnaissance des droits et de la culture de son peuple. Sa lutte armée et sa mort brutale contribuèrent à forger l’admiration des Aborigènes pour lui et à porter sa notoriété à l’étranger.
“Utopia Girls” retrace l’histoire de la lutte des femmes australiennes, qui furent les premières à obtenir le droit de vote dans le monde et l’égalité politique. Un film émouvant sur une partie peu connue de l’histoire des femmes et sur celle de l’Australie.
Deux cocktails offerts grâce à un sondage nous mènent au Sofitel. On y retrouve Elie Chouraqui à une table voisine.
Ce montage pour vous apporter un peu de chaleur à vous tous qui grelottez en Métropole. Nous pensons très fort à vous. Pauline m’a dit imaginer un feu de cheminée et un bon chocolat chaud. Cela la tenterait bien…je ne sais pas si elle dira la même chose dans un an !
J’attendais une dernière photo pour terminer cet article…mais celle-ci n’arrive pas … Les amoureux n’ont déjà plus de temps de libre…je me décide donc à publier l’arrivée de Manu, le doudou de Samira.
Pour son arrivée il a été très gâté : Sa belle a pour l’occasion revêtu une belle robe polynésienne et il a même le droit à un spectacle de danse polynésienne. Quelle belle arrivée ! Bienvenu à Manu sur le Fenua.
En fait le spectacle n’est pas pour lui car il faut être un V.I.P. pour avoir cet avantage. Les danseurs sont là pour le réalisateur Elie Chouraqui qui est arrivé par le même avion. Il vient en tant que président du jury du 9ème FIFO (festival international du film documentaire océanien). Ce festival dure une semaine.